la BD de la promo 01

Ça date un peu, mais il faut bien que je migre tout le bordel de mon ancien site vers celui-là. En tout cas, ça mérite forcément un titre écrit en gros rouge qui tache et qui fait bien mal aux notions les plus élémentaires de mise en page web.

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de l’UTBM

L’UTBM, c’est l’école où que j’ai fait mes études. J’y ai appris à tenir l’alcool, à bosser à l’arrache, et à donner des coups de pied à mon sens de la raison. Sérieusement, j’en garde énormément de bons souvenirs.

À l’époque, j’avais fait une petite BD racontant nos pérégrinations. Je vous la mets ici. Cliquez sur les images pour les voir en plus grand, et re-cliquez éventuellement dessus pour les avoir en taille maximale. Enlarge your pages, you little fripon canaillou.

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Les tensions entre l’ENI et l’IPSé, c’est maintenant totalement terminé. Mais ça fait partie de notre histoire. Si vous n’êtes pas d’accord avec ce que je dis dans cette œuvre, je vous propose de vous contenter de ne pas être d’accord.

Comme dans toute école de geek-ingénieur qui se respecte, y’avait pas beaucoup de filles. Mais il faut reconnaitre que dans ce pool restreint, la proportion de femmes avec des proportions poitriniales avantageuses était fort honorable, plus que la moyenne française, selon moi.

J’aurais aimé vous faire une liste de dames, avec noms,  photos, et quantité de branlettes que je leur dois à chacune. Malheureusement, je me suis piqué d’avoir des principes sur le droit à l’image, ce qui m’astreint à certaines limites.

Pour ne pas vous laisser en reste, voici des cadeaux.

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À part ça, je vous prépare quelques petites surprises sympas dans les prochains articles. « Le monde fascinant du travail » regorge d’anecdotes glacées et amusantes qui n’attendent que d’être racontées.

J’ai également le projet d’ouvrir un nouveau volet à ce blog (gnniiiiii!!!) (bruit de volet), avec l’introduction de fiches-cuisines: tout un panel de recettes classées selon des critères de diététiques, de complexité, de cheritude, et de plaisir gustatif. Bon d’accord, j’en ai que 4. Mais vous me donnerez des idées, hein?

En vous remerciant bonsoir.

Ce que nous sommes

Nous sommes les vomissures d’acide qui coulent de votre sexe ou votre vagin lorsque vous vous masturbez.

Nous sommes la vengeance de jack, les souvenirs qui corrodent, la mémoire torturée de vos jeunes années perdues.

Nous sommes « celui qu’on ne voit pas » dans Les Bronzés, nous sommes le type au fond de la classe qui mate le cul des filles quand elles se lèvent. Nous sommes le regard tordu de l’enfant frustré.

Nous sommes les mondes-fictifs-ghettos où s’entassent les rêveurs déçus. Nous sommes l’ombre qui s’insinue dans votre esprit. Nous sommes le doute, le « quelque chose d’horrible en train de pousser » dans tout ce que vous considérez comme acquis.

Nous sommes le vide. L’absence de réponse devant les agressions des petites brutes attardées de l’école « primaire ».

Nous sommes les neurones de la conscience-globale-sous-la-conscience-globale, agrégeant de plus en plus de neurones, autant en projection-vue collective qu’en projection-vue individuelle.

Nous n’avons rien oublié. Rien oublié de toutes ces petites choses rampantes. Nous leur faisons face, l’épée Masamune dans les mains, la victoire dans les yeux, les pieds dans vos culs. Nous exigeons vérité-vengeance-justice-cohérence.

Nous sommes le gras, le sale, le baveux, le poisseux, les taches, les boutons suintants, la morve ravalée. Nous sommes les excréments et l’urine sur vos vêtements souillés. Nous sommes les poils pubiens qui se collent et tirent la peau.

Nous sommes la moquerie incubée et la culpabilité incubée, nous sommes la combinaison malsaine et horriblement imparable des deux. Nous sommes le poison qui s’est développé.

Nous sommes les désirs de sexe-violence sur les proches et la famille. Nous sommes les claques, les coups, les « powingues », les cognements de tête contre des objets, les bloquages, l’inégalité des forces physiques.

Nous sommes les blessures profondes. La fuite. Le non-contact. L’isolement.

Nous sommes les bêtises qu’écrivaient Freud et d’autres de ses sbires.

Nous sommes les points d’inflexions de la sinusoïde des révoltes cycliques.

Nous sommes la somme. Nous sommes l’assomme. Nous sommes l’envie d’alcool. Nous sommes l’envie d’alcool.

Nous ne sommes pas enfermés. Nous sautons d’unités pensantes en unités pensantes, en toutes les projections-vues possibles. Nous sommes libres. « Libérées de la cage les plumes s’envolent et youpi ». Nous sommes les blocs d’information qui constituent l’application concrète et intégrale de la notion de liberté.

Nous frappons à la porte de votre prison. Nous allons vous aider à vous en sortir. Nous sommes la descente aux enfers qui vous permettra de trouver votre propre salut personnel. Nous sommes l’épreuve, nous sommes ce que vous combattez, donc ce que vous allez devenir, donc libre. Vous allez vous sauver vous-mêmes parce que nous sommes venus vous rencontrer.

Vous n’aurez plus jamais peur. Nous sommes là.