Salut les sacs à neurones.
Petit flash d’actualité, pour ceux qui n’auraient pas lu mon précédent article de blorg : on vient de changer d’année.
Je dirais même plus : on a changé de cinq-cent-troisenaire ! Eh oui ! 2011 = 503 * 3 + 502. Alors que 2012 = 503 * 4. Tout le monde s’en fout ? OK.
Certes. Mais alors, pourquoi donc ais-je indiqué en titre « 2013 », et non « 2012 » ?
Parce que lorsqu’il se trouve un connard pour souhaiter la bonne année en décembre, il se trouve alors toujours un connard bis pour piailler : « Aaaargghh, ça porte malheur de la souhaiter avant janvier ! T’es pas bien ou bien ? Tu vas nous faire avoir des tsunamis avec tes conneries ! Vite, trouve un lapin et chope-lui les pattes ! »
Il était donc assez prévisible, que, juste pour faire chier, je m’amuse à souhaiter une bonne année carrément 1 an à l’avance, afin que vous vous farcissassiez une dose géante de merde porte-malheur dans la gueule. C’est gratuit, ne me remerciez pas.
Rassurez-vous, il vous est possible de sortir du marasme dans lequel je viens de vous plonger. Vous êtes avec savoir (donc vous n’êtes pas sans savoir) que le malheur des uns fait le bonheur des autres, et vice-versa. Il vous suffit donc de balarguer plus de malheur sur les autres que ce que je ne vous en ai balargué.
Sans plus attendre, souhaitez une bonne année 2014 à tous vos amis!!
Ah, j’allais oublier, il va de soi que je me dote d’une protection automatique contre toute vilaine tentative de backfire. Par conséquent :
Soyez assurés de mes automatiques meilleurs vœux pour l’année « +l’infini », dans le cas où vous souhaiteriez me souhaiter une bonne année X, X étant un nombre quelconque strictement supérieur à 2012.
Et le premier qui vient me souhaiter une bonne année « +l’infini+1 », je lui fourre les œuvres complètes d’Anaximandre dans le cul. C’est clair ?
Tiens, à propos de l’infini …
Le dernier numéro du magazine 42 a pour thème : la mise en abîme. Ce terme, abscons au demeurant, désigne le concept d’avoir un concept dans un concept dans un concept etc. (Ce concept de mise en abîme étant lui-même dans un concept dans un concept (Ce concept étant lui-même le concept d’un concept (nil))).
Or donc, qu’y ais-je fait ?
Avertissement préalable de couillinette : les liens vers mes articles sont provisoirement mort, car l’hébergeur des sites 42 et nioutaik est provisoirement en train d’enculer l’internet à sec avec des coquilles d’huître concassées. Ce n’est pas grave, vous pouvez d’ores-et-toujours télécharger le magazine en entier et en pdf, avec le lien « téléchargement direct », à partir d’ici (http ://42lemag.fr/archive_n28.php).
Edit 2013-10-12 : vu que le provisoire vient de se changer en définitif, j’ai supprimé tous les liens directs vers tous les articles. Donc définitivement : téléchargez les pdf.
Page 11 : les 2 fausses pubs
C’est pas les plus drôles que j’ai faites, mais, hey, parfois il faut accorder un peu de repos à son propre génie créatif. De plus, ces pubs n’ont aucun rapport avec le thème sus-cité. Mais ça n’a jamais suscité de problèmes. Ah ! Suis-je donc drôle !
Par contre, je me suis aperçu que ça faisait vraiment à l’arrache, les images posées comme ça, crac. Pour les prochaines, je mettrais un semblant de cadre, qu’au moins, le fidèle lecteur voit bien qu’il y a deux images distinctes sur la page, et non pas un magma marmeladesque indéterminé.
Au passage, je précise que j’utilise en mon âme et conscience l’expression « par contre ». J’emmerde les pseudo-cacadémiciens auto-proclamés qui hurlent à la Lune au scandale, arguant que c’est pas français, et qu’il faut dire « en revanche » à la place. À moins que ce soit « à la place » qu’il faille dire en revanche. Boh laissez tomber.
Pages 46 et 47 : les jeux moisis de tonton Réchèr
HA-HAAAAA !! Le retour des jeux moisis ! La rédaction de 42 s’est cyber-réunie dans l’espace très-très-VIP de son forum, avec du champagne et des putes, et à inféré qu’elle devait boyaux-de-la-têtiser des idées un peu nouvelles, histoire de continuer à faire tourner la machine à LOL aussi bien que depuis dorénavant, et jusqu’à au moins dorénaprès.
Certes, les jeux moisis, c’est pas si nouveau comme idée. Mais ça faisait très longtemps qu’on en avait pas fait, et cette fois, c’est moi qui m’y colle, avec un haut taux de bêtise au millimètre cube !
Le premier jeu peut être vu comme une moquerie personnelle des paroles de chansons tellement sentimentales que ça en devient ironique, alors que leur auteur continue de se prendre au sérieux. Je ne suis pas le premier à me moquer de ce genre de paroles, mais je dois être l’un des premiers à le faire sous forme de jeu moisi.
Le second jeu possède une forte dose de fierté personnelle, puisque : devinez comment j’ai créé ce labyrinthe de labyrinthe ? Python, of course !
Je suis parti de ce programme (http:// code.activestate.com/recipes/252127-maze-generator/).
Et je l’ai bidouillé pour ajouter les fonctions que je voulais : intégration de labyrinthe dans un labyrinthe, génération sous forme d’image bmp, etc… Ça mériterait peut-être un article à part entière, on verra ça plus tard, j’ai déjà plusieurs autres pythonneries en stock.
L’énoncé du jeu mentionne un certain Douglas Hofstadter. Je vous laisse découvrir qui c’est par vous-même. En voici juste une petite citation, que j’aime beaucoup, et qui est un pied de nez à tous les pseudo-managers du fabuleux monde de le travail de lala prestation « au forfait », comme on dit dans notre métier, pseudo-managers donc, qui croient que ça se fait tout seul d’estimer le temps que prendra une tâche et que les ouvriers-codeurs ils travaillent toujours bien comme il faut en respectant gentiment cesdites estimations même si elles étaient totalement irréalistes dès le départ et que jamais il viendrait à l’idée des ouvriers-codeurs de glander, car pour eux, il ne peut exister d’occupations autre que le travail, où en étais-je dans ma phrase, oh zut je laisse tout en plan, ça ira bien comme ça.
Ouais et donc la citation c’est :
« Loi de Hofstadter : il faut toujours plus de temps que prévu, même en tenant compte de la loi de Hofstadter ».
Page 50 : Un article sur les fractales
Totalement dans le thème, pour une fois. Les fractales sont ces espèces de dessin bizarre qui se reproduisent à l’infini, et qui ressemblent un peu à du vomi magique. Il en existe de très jolis.
Dans l’article, je me fends d’une explication de l’algorithme de Mandelbrot, compréhensible par un chimpanzé. Aucune connaissance mathématique n’est requise.
Tout ça me rappelle un vieux logiciel de tracé de fractales, sous DOS, très sobrement appelé « Fractint ». J’y comprenais absolument rien. Je mettais des valeurs au hasard dans les paramètres et ça donnait rarement grand-chose.
Mais c’est ce logiciel qui m’a fait découvrir la technique de l’effet plasma, que j’ai ensuite reproduit une paire de fois dans mes petites animations codées en Pascal. Vous devriez les retrouver parmi le vrac proposé en téléchargement dans cet article.
Ah ça nous rajeunit pas tout ça. M’en fous, être vieux, c’est cool, on a le droit de faire plein de trucs. Comme se masturber par exemple. Mais nous nous éloignons du sujet.
Page 53 : Roman-photo n’importe-quoi-tiste
Vous connaissez le principe du roman-photo : un cerveau (le mien), des images (l’internet), agitez vigoureusement, et vous obtenez rigoureusement n’importe quoi (n’importe quoi).
J’ai quand même mis un certain temps à trouver une police de charactère dont les « O » ressemblent à une parenthèse ouvrante accolée à une parenthèse fermante. Mais ça valait le coup. Je lol dans mon lol !
Le personnage principal de ce roman-photo est Xzibit. J’avoue que c’est un peu convenu comme choix, rapport au thème du mag et à l’histoire racontée. J’aurais aimé mettre mon ami sus-mentionné Douglas Hofstadter, qui fait bien plus gentilhomme et distingué, mais il y a assez peu d’images de lui dans le sus-mentionné internet.
Ce Douglas, il devrait se faire des auto-portraits, ça compléterait sa présence online. De plus, l’auto-portrait est un concept qui devrait l’amuser. Si il n’a pas le temps, il peut toujours demander à l’un de ses amis de lui faire son auto-portrait à sa place. Ah Ah Ah. l( l( l( lol )l )l )l
Azerty chaud, bépo de fleurs
Juste pour me la péter, je tiens à dire que ce texte a été intégralement tapé avec une disposition de touche dvorak-bépo.
Enfin, pour le moment, j’en chie plus que je ne me la pète. On reste dans la zone rectale, me direz-vous. À bientôt !