La cryogénisation du blog Sam et Max

Il y a quelques années de ça, un chien et un lapin se rencontrèrent.

− Bonjour monsieur le chien.

− Bonjour monsieur le lapin.

− …

− …

− …

− …

− …

− …

− Mais, que nous arrive-t-il ? Je sens comme un arc de tension sexuelle s’établir entre nous deux.

− Moi aussi. Cela va être difficile de le contrôler.

− Pourquoi ne pas céder à cet amour qui s’offre à nous ?

− Je n’ai rien contre les homosexuels, mais je n’en fais pas partie.

− Qui parle d’homosexualité ? Vous êtes un chien et je suis un lapin. Il ne s’agit rien de plus que de zoophilie.

− Comme vous avez raison. Faisons l’amour !

(Quelques mois plus tard…)

− Je suis enceint !

− Moi aussi !

− Quel bonheur ! Nous mettrons au monde toute une marmaillerie de petits chien-lapins !

(Encore quelques années plus tard…)

− Qu’allons nous faire de tous ces chien-lapins et autres lapin-chiens ?

− Il est impossible pour nous de nous occuper d’un aussi grand nombre d’enfants.

− Achetons un congélateur et cryogénisons-les.

− Sage décision. Malheureusement, les techniques de réveil après cryogénisation ne sont pas encore aboutie. Nous risquons de tuer ces pauvres petites créatures lorsque leurs futurs parents adoptifs voudront les réanimer.

− J’ai une idée ! Il nous suffit de les cloner à plusieurs reprises et de cryogéniser ces clones dans plusieurs congélateurs. Nous pourrons ainsi tenter des réanimations au fur et à mesure que la technologie évoluera.

C’est ce qui fut fait.

Archi-archivisme

Le blog http://sametmax.com/ existe toujours, mais aucun nouvel article ne sera ajouté. Les commentaires ont été réouverts momentanément. Lorsqu’ils seront fermés, le blog ne changera plus.

Il n’y a aucune garantie future qu’il restera en ligne. C’est insupportable ces gens qui ne se sentent coupables de rien sous prétexte qu’ils mettent leur travail à disposition librement et gratuitement. Encore un coup des trotskistes.

Ces messieurs Sam et Max ont expliqué comment récupérer tout le contenu de leur blog. Je n’ai pas de moyen de lancer des commandes « wget » de chez moi (désolé, Windows, tout ça). Je pourrais le faire au Travail, mais ça me gêne de mobiliser du CPU, de la bande passante et de la place disque en quantité indéterminée pour quelque chose que je ne peux pas trop justifier.

Alors j’ai fait le gros bourrin avec l’utilitaire WinHTTrack. Ça a mouliné sa mère pendant des heures. Je ne suis pas sûr d’avoir tout récupéré. Certains articles semblent avoir échappé au moissonage, car leur titre est trop long (en particulier toute la partie sur la programmation orientée objet). Je les ai récupérés manuellement, en espérant que d’autres n’ont pas planté de la même manière.

Puis j’ai tout compressé et tout balancé dans dropbox. Vous pouvez télécharger un énorme fichier .zip avec tout dedans. C’est cadeau c’est bonheur.

Il y a aussi des autoblogs, vous permettant de consulter directement les articles sans vous embêter à tout télécharger en local. Mais ils ne sont pas forcément à jour, et ont le même niveau de non-garantie de continuité que le blog de Sam&Max lui-même.

Dropbox pourrait également décider de virer ma sauvegarde.

Internet n’est pas forcément durable.

Ni vos ordinateurs. Ni le réseau de distribution d’électricité. Ni vous-même. Tout fout le camp.

C’est pour ça que lorsqu’on tient à quelque chose, il faut en faire le plus de sauvegardes décentralisées possibles, dans le plus d’endroits différents. Ce dropbox est ma toute petite contribution à cela.

Le passage nostaltriste

Le blog de Sam&Max s’est offert à mon temps de cerveau, il y a quelques années de cela, par le biais de roro, un ami bizarre de l’internet. Je le salue au passage, s’il me lit encore.

J’y ai lu tous les articles paru depuis que je l’ai découvert. Je me suis promis de me faire une rétrospective générale des anciens non encore lus.

Certains de ces articles ont augmenté ma culture générale informatique et ma veille technologique.

L’un en particulier m’a directement fait économiser plusieurs heures de travail de mon vrai Travail. Il s’agissait de l’explication d’un concept générique : les itérateurs avec yield . Et en plus ça m’a même pas servi pour du python, mais du C#.

Je me suis fendu de quelques petits commentaires chez eux, plus ou moins pertinents, plus ou moins utiles.

Je leur ai proposé quelques articles, qu’ils ont gentiment accepté de publier. En voici la liste.

J’avais l’idée de deux autres sujets qui auraient pu être intéressants :

– comment créer un plug-in Sublime Text.

que se passe-t-il en interne quand on définit une variable en python ? (https ://nedbatchelder.com/text/names.html)

Je les écrirais peut-être ici, dans mon blog à moi. C’est dommage. L’audience y est beaucoup plus faible, je ne pourrais donc pas en retirer tout le flattage d’ego que j’aurais pu en espérer.

Ça me fait quand même un petit quelque chose de voir le blog de Sam&Max s’arrêter. Un peu le même effet que la fin du magazine 42, même si ce n’est pas du tout le même genre de création. Snif snif beuheu-beuheu ouin.

Finalement, peut-être que cette nouvelle m’apporte plus de réconfort égoïste que de tristesse. Tous ces « créateurs de contenus web », qui parviennent à obtenir plus « d’audience » et « d’attention » que moi, finissent par abandonner et passer à autre choses. Moi je suis toujours là, depuis plus de 10 ans, sur mon blog pourri avec à peine 30 visites non-uniques par jour, à publier un article par mois.

Je m’accrocherai autant que je le pourrais, comme un vieux chewing-gum dégueulasse à la chlorophylle oublié au fond d’une poche.

Sur ce, voici une dernière image de lapine pour conclure.

Jessica Rabbit !

Bonne Année 2013 !

Salut les sacs à neurones.

Petit flash d’actualité, pour ceux qui n’auraient pas lu mon précédent article de blorg : on vient de changer d’année.

Je dirais même plus : on a changé de cinq-cent-troisenaire ! Eh oui ! 2011 = 503 * 3 + 502. Alors que 2012 = 503 * 4. Tout le monde s’en fout ? OK.

Certes. Mais alors, pourquoi donc ais-je indiqué en titre « 2013 », et non « 2012 » ?

Parce que lorsqu’il se trouve un connard pour souhaiter la bonne année en décembre, il se trouve alors toujours un connard bis pour piailler : « Aaaargghh, ça porte malheur de la souhaiter avant janvier ! T’es pas bien ou bien ? Tu vas nous faire avoir des tsunamis avec tes conneries ! Vite, trouve un lapin et chope-lui les pattes ! »

BBW bunny

L’aile ou la cuisse (du lapin) ?

Il était donc assez prévisible, que, juste pour faire chier, je m’amuse à souhaiter une bonne année carrément 1 an à l’avance, afin que vous vous farcissassiez une dose géante de merde porte-malheur dans la gueule. C’est gratuit, ne me remerciez pas.

Rassurez-vous, il vous est possible de sortir du marasme dans lequel je viens de vous plonger. Vous êtes avec savoir (donc vous n’êtes pas sans savoir) que le malheur des uns fait le bonheur des autres, et vice-versa. Il vous suffit donc de balarguer plus de malheur sur les autres que ce que je ne vous en ai balargué.

Sans plus attendre, souhaitez une bonne année 2014 à tous vos amis!!

Ah, j’allais oublier, il va de soi que je me dote d’une protection automatique contre toute vilaine tentative de backfire. Par conséquent :
Soyez assurés de mes automatiques meilleurs vœux pour l’année « +l’infini », dans le cas où vous souhaiteriez me souhaiter une bonne année X, X étant un nombre quelconque strictement supérieur à 2012.

Et le premier qui vient me souhaiter une bonne année « +l’infini+1 », je lui fourre les œuvres complètes d’Anaximandre dans le cul. C’est clair ?

rule 34 infinity

Class InfinitySymbol implements Règle_34;

Tiens, à propos de l’infini …

Le dernier numéro du magazine 42 a pour thème : la mise en abîme. Ce terme, abscons au demeurant, désigne le concept d’avoir un concept dans un concept dans un concept etc. (Ce concept de mise en abîme étant lui-même dans un concept dans un concept (Ce concept étant lui-même le concept d’un concept (nil))).

Couverture du numéro 28 du magazine 42

Or donc, qu’y ais-je fait ?

Avertissement préalable de couillinette : les liens vers mes articles sont provisoirement mort, car l’hébergeur des sites 42 et nioutaik est provisoirement en train d’enculer l’internet à sec avec des coquilles d’huître concassées. Ce n’est pas grave, vous pouvez d’ores-et-toujours télécharger le magazine en entier et en pdf, avec le lien « téléchargement direct », à partir d’ici (http ://42lemag.fr/archive_n28.php).

Edit 2013-10-12 : vu que le provisoire vient de se changer en définitif, j’ai supprimé tous les liens directs vers tous les articles. Donc définitivement : téléchargez les pdf.

Page 11 : les 2 fausses pubs

C’est pas les plus drôles que j’ai faites, mais, hey, parfois il faut accorder un peu de repos à son propre génie créatif. De plus, ces pubs n’ont aucun rapport avec le thème sus-cité. Mais ça n’a jamais suscité de problèmes. Ah ! Suis-je donc drôle !

Par contre, je me suis aperçu que ça faisait vraiment à l’arrache, les images posées comme ça, crac. Pour les prochaines, je mettrais un semblant de cadre, qu’au moins, le fidèle lecteur voit bien qu’il y a deux images distinctes sur la page, et non pas un magma marmeladesque indéterminé.

Au passage, je précise que j’utilise en mon âme et conscience l’expression « par contre ». J’emmerde les pseudo-cacadémiciens auto-proclamés qui hurlent à la Lune au scandale, arguant que c’est pas français, et qu’il faut dire « en revanche » à la place. À moins que ce soit « à la place » qu’il faille dire en revanche. Boh laissez tomber.

la revanche

Pages 46 et 47 : les jeux moisis de tonton Réchèr

HA-HAAAAA !! Le retour des jeux moisis ! La rédaction de 42 s’est cyber-réunie dans l’espace très-très-VIP de son forum, avec du champagne et des putes, et à inféré qu’elle devait boyaux-de-la-têtiser des idées un peu nouvelles, histoire de continuer à faire tourner la machine à LOL aussi bien que depuis dorénavant, et jusqu’à au moins dorénaprès.

Certes, les jeux moisis, c’est pas si nouveau comme idée. Mais ça faisait très longtemps qu’on en avait pas fait, et cette fois, c’est moi qui m’y colle, avec un haut taux de bêtise au millimètre cube !

Le premier jeu peut être vu comme une moquerie personnelle des paroles de chansons tellement sentimentales que ça en devient ironique, alors que leur auteur continue de se prendre au sérieux. Je ne suis pas le premier à me moquer de ce genre de paroles, mais je dois être l’un des premiers à le faire sous forme de jeu moisi.

le chien

Unrelated pic, mais ça valait le coup quand même.

Le second jeu possède une forte dose de fierté personnelle, puisque : devinez comment j’ai créé ce labyrinthe de labyrinthe ? Python, of course !

Je suis parti de ce programme (http:// code.activestate.com/recipes/252127-maze-generator/).

Et je l’ai bidouillé pour ajouter les fonctions que je voulais : intégration de labyrinthe dans un labyrinthe, génération sous forme d’image bmp, etc… Ça mériterait peut-être un article à part entière, on verra ça plus tard, j’ai déjà plusieurs autres pythonneries en stock.

L’énoncé du jeu mentionne un certain Douglas Hofstadter. Je vous laisse découvrir qui c’est par vous-même. En voici juste une petite citation, que j’aime beaucoup, et qui est un pied de nez à tous les pseudo-managers du fabuleux monde de le travail de lala prestation « au forfait », comme on dit dans notre métier, pseudo-managers donc, qui croient que ça se fait tout seul d’estimer le temps que prendra une tâche et que les ouvriers-codeurs ils travaillent toujours bien comme il faut en respectant gentiment cesdites estimations même si elles étaient totalement irréalistes dès le départ et que jamais il viendrait à l’idée des ouvriers-codeurs de glander, car pour eux, il ne peut exister d’occupations autre que le travail, où en étais-je dans ma phrase, oh zut je laisse tout en plan, ça ira bien comme ça.

Ouais et donc la citation c’est :
« Loi de Hofstadter : il faut toujours plus de temps que prévu, même en tenant compte de la loi de Hofstadter ».

Page 50 : Un article sur les fractales

Totalement dans le thème, pour une fois. Les fractales sont ces espèces de dessin bizarre qui se reproduisent à l’infini, et qui ressemblent un peu à du vomi magique. Il en existe de très jolis.

fractale pussy

La création du monde ?

Dans l’article, je me fends d’une explication de l’algorithme de Mandelbrot, compréhensible par un chimpanzé. Aucune connaissance mathématique n’est requise.

Tout ça me rappelle un vieux logiciel de tracé de fractales, sous DOS, très sobrement appelé « Fractint ». J’y comprenais absolument rien. Je mettais des valeurs au hasard dans les paramètres et ça donnait rarement grand-chose.

Mais c’est ce logiciel qui m’a fait découvrir la technique de l’effet plasma, que j’ai ensuite reproduit une paire de fois dans mes petites animations codées en Pascal. Vous devriez les retrouver parmi le vrac proposé en téléchargement dans cet article.

Ah ça nous rajeunit pas tout ça. M’en fous, être vieux, c’est cool, on a le droit de faire plein de trucs. Comme se masturber par exemple. Mais nous nous éloignons du sujet.

Page 53 : Roman-photo n’importe-quoi-tiste

Vous connaissez le principe du roman-photo : un cerveau (le mien), des images (l’internet), agitez vigoureusement, et vous obtenez rigoureusement n’importe quoi (n’importe quoi).

J’ai quand même mis un certain temps à trouver une police de charactère dont les « O » ressemblent à une parenthèse ouvrante accolée à une parenthèse fermante. Mais ça valait le coup. Je lol dans mon lol !

Dawson enkuler de rire

Le personnage principal de ce roman-photo est Xzibit. J’avoue que c’est un peu convenu comme choix, rapport au thème du mag et à l’histoire racontée. J’aurais aimé mettre mon ami sus-mentionné Douglas Hofstadter, qui fait bien plus gentilhomme et distingué, mais il y a assez peu d’images de lui dans le sus-mentionné internet.

Ce Douglas, il devrait se faire des auto-portraits, ça compléterait sa présence online. De plus, l’auto-portrait est un concept qui devrait l’amuser. Si il n’a pas le temps, il peut toujours demander à l’un de ses amis de lui faire son auto-portrait à sa place. Ah Ah Ah. l( l( l( lol )l )l )l

Azerty chaud, bépo de fleurs

Juste pour me la péter, je tiens à dire que ce texte a été intégralement tapé avec une disposition de touche dvorak-bépo.

Enfin, pour le moment, j’en chie plus que je ne me la pète. On reste dans la zone rectale, me direz-vous. À bientôt !

Entre chien et loup

J’avais un prof d’histoire-géo très cultivé : classe, panache, puits de science, tout ça. Il nous disait : « pour vos compositions, évitez le plan à tiroir ». Une petite élève à lunettes, doté d’un cul rebondi dans un pantalon moulant, avait alors demandé : « qu’est-ce que ça veut dire ? »

Et le prof s’était contenté de répondre : « Enfin voyons, l’expression montre bien ce que cela représente ». Et il avait fait le signe de tirer plusieurs tiroirs les uns après les autres. C’en est resté là.

escalier-tiroir 2

La petite à lunettes a mis des pantalons moins moulants, mes notes d’histoire-géo n’ont jamais dépassé 9/20, le prof s’est amouraché d’une immigrée russe et est devenu dépendant aux sucreries.

Finalement, la seule chose qui s’en soit bien sorti dans cette histoire, c’est le mot « tiroir ».

Ce qui me permet de l’utiliser, dans une autre expression, un peu plus compréhensible cette fois-ci : « racler les fonds de tiroir ! »

Au alentours de mai 2006, j’ai participé à un concours de poésie sur le blog du pote d’un pote. Le titre plus ou moins imposé était « Le chien-loup ». Voici mon œuvre :

Entre

chien

et loup

tee-shirt-loup 3 wolfs moon shirt

De la lumière me blafarde le visage,

l’horloge dit 8 heure, le matin est sage.

Embrumé, je sors doucement de mon vomi,

c’était une bonne fête entre amis.

Maintenant, plus de nuit, pas encore de jour.

Mon boulet de pote entre, chiant et lourd,

ce foutu petit morveux baveux de Louis

a sacrément baisé à travers champs et lys

avec des tonnes de pouffiassalopes saoules,

qui avaient fort gros seins et palpitantes moules.

Pendant qu’aux chiottes, pour moi, quelle chienlit!

J’évacuais mes litchis farcis au chili.

J’ai vraiment vraiment pas de chance, je chie lent.

Et ma soirée est tombée dans un trou béant.

Mais un envoûtant parfum entre, lent et doux,

c’est Chimène, plus resplendissante que tout.

Un délicieux plat au chou elle a préparé.

Elle me dit, avec son joyeux air de fée :

« Pour se débarrasser des malaises gastriques,

les légumes sont un remède magnifiques!

Oh mon amour, j’aimerais qu’entre toi et moi,

ce chou, un symbole de lien éternel, soit.

Tu es beau et rassurant tel un chien-loup. Viens!

Je t’aime, accepte, s’il te plaît, ce chou-lien. »

Il m’est apparu, là, dans ses si jolis yeux,

qu’avec elle, pour toujours, je serais heureux.

8 heure, la période entre chien et loup,

instant ambigu où tout peut arriver, tout.

 

Encore maintenant, j’en reste assez fier. Il parle très subtilement de la dualité entre amour platonique et sexe sexuel. Et puis ce jeu de mot, tout aussi dual : chien-loup, chou-lien. Qui d’autre qu’un esthète tel que moi pouvait réussir ce genre de prouesse ?

bbw dans une salade

Un chou géant, des femmes rondes : votre dose quotidienne d’amour et de 5-fruits-et-légumes.

Ici, vous trouverez les participations des autres participationneurs (http:// heriflant.over-blog.com/article-2753319.html).

Un peut de corporatisme, mais pas trop

M’étant volontairement exilé dans la cambrousse pour mon travail d’ouvrier-codeur, je rate la majorité des soirées d’entreprises, réunions-bilans-bowling-pinard, et autres orgies empiffratoires professionnelles.

J’ai bien conscience que je déçois le noyau dur de mon lectorat, ceux qui me suivent depuis le premier jour (coucou chérie !), mais je vais tenter de me rattraper.

Premièrement, avec une petite anecdote primesautière dont j’ai eu l’écho.

Anecdote : Lors de la dernière soirée-corporate, y’a eu un jeu-concours rigolo. Les petits ouvriers-ingénieurs s’étaient vus proposer de « racler leur fonds de tiroir » pour fournir une photo d’eux, gamin. Ces photos étaient projetées sur ecran-toile-a-plasma, et il fallait retrouver qui était qui.

(ici, ne pas insérer la photo d’une femme ronde à l’âge de 4 ans, car ça n’aurait aucun intérêt).

Ce jeu a du provoquer un tremblement de terre de fou-rire dans tout le comté !!

laugh baby 2gl

Bon, en fait, pas exactement. Seul les chefs ont donné des photos, pour montrer le bon exemple. Fail. Mais on les remerciera quand même d’avoir offert à leurs ouvriers cette soirée magique. Ainsi, ceux-ci ont pu rire ouvertement de leur « hiérarchie », sans risquer aucune représaille.

« Hahaha !! T’as vu la tête qu’il avait Braillou ? Haha, et cette coupe de cheveux !! Hahaha  ! Oui c’était la mode à l’époque !! Ha ha. »

M’est avis que l’ambiance devait être un peu coincée, et pas très naturelle. Un peu comme le sourire de Haydee Rodriguez.

haydee rodriguez servante

« Gniiiiiii !!!! Mais prends-la, ta putain de photo, ma lèvre inférieure va claquer comme un élastique ! »

Deuxièmement (y’avait un premièrement pas loin, faut suivre), avec la promesse d’un article-fleuve corporate. Ça se passera dans la forteresse de Lekkemi’Amorsh. Alors restez dépendant de mon blog, bande de moules.

Troisièmemefinalement, j’ai déniché une petite réflexion sur le monde du travail actuel, que je trouve assez intéressante. C’est ici, sur le framablog (http:// www. framablog.org/index.php/post/2010/08/25/motivation).

Ca n’apporte pas forcément de solution au problème posé, mais ça pose le problème. Maintenant je me sens moins seul, cette réflexion explique l’immense décalage que je ressens personnellement entre mon boulot de merde d’ouvrier-codeur, et mon envie bien réelle de créer du code beau, utile, factorisé et finement ciselé jusque dans les moindres petits recoins de chaque petite variable.

250px-Papertape carte perforée

L’instruction à « 0x6969 » emploie l’adresse mémoire « 0x0000 ». La mémoire ne peut pas être ‘read’. You failed.

A ce sujet, j’ai quelque projets secrets de jeux vidéos, qui arriveront à terme un jour ou l’autre. Enfin je dis ça, mais vous connaissez ma capacité à estimer le temps qu’il me faut pour finir un truc.

Des formes

sculpture formes bizarres

J’ai mis à jour mon article phare, celui sur les chansons pipi-caca. J’y ai ajouté, non pas d’autres chansons, mais des images de femmes rondes. Eh oui, j’ai profité de la popularité de cette article pour y accoler ma « vitrine érotique ».

Je vous laisse le redécouvrir, et (pas re)découvrir ma sélection personnelle de charme. C’est ici : https://recher.wordpress.com/2009/01/12/les-chansons-pipi-caca-de-notre-enfance/