Juste pour dire que j’ai obtenu tous les achievements, ainsi que tous les challenges Heroic et Iron, du jeu Kingdom Rush (http ://armorgames.com/play/12141/kingdom-rush).
Bon en fait pas complètement. Il me manque le niveau de Sarelgaz, payant et pas acheté. Je vous boaste quand même quelques images prouvant ma bravoure :
Laissons de côté les achievements des autres pages, facilement obtenables en jouant suffisamment longtemps. J’attire simplement votre attention sur le potentiel faisage-de-kakou du « twin rivers angler » : je l’ai obtenu, je fais le kakou, voilà c’est fait.
Edit 2013-10-06 : une mise à jour du jeu est sortie, avec des héros, et d’autres niveaux payants. J’ai bien évidemment re-terminé la version gratuite. Mon boastage est donc toujours d’actualité.
Et maintenant, voici mes conseils de pgm expert en Tower Defense Flash Game :
- Concernant le challenge Iron du dernier niveau : bien que la description indiquasse « no mage, no artillery », il est possible de placer des tours de mages. Personnellement, j’en ai eu bien besoin. C’est un bug, mais je ne sais pas quelle était l’intention réelle des développeurs, entre l’autorisation ou l’interdiction.
- Placer en fin de parcours une tour de mage spécialisée violette, avec la capacité de téléportation au max, est une garantie absolue contre les gros monstres lents et peu nombreux (yétis, golem, …) Ils n’ont jamais le temps de traverser l’aire d’effet, et se font téléporter en boucle. Oubliez la capacité de désintégration, beaucoup trop cher pour ce que c’est.
- En dehors des yétis et golems sus-cités, Kingdom Rush est un jeu comportant une proportion importante de vagues « swarm » (des monstres faibles mais nombreux). Les tours infligeant des dégâts sur toute leur aire d’effet sont donc très efficaces. Je préconise de la Tesla Tower et des Archers Elfiques affublés de la capacité Entangle.
- D’ailleurs, à propos des Archers Elfiques : best tower ever ! La capacité Flèche Empoisonnée ignore l’armure.
- La tour de mage spécialisée sorciers orange est pas mal, surtout avec la capacité du Copain Golem. Mais le sort de métamorphose est un peu embarrassant. En effet : tuer un monstre préalablement changé en mouton ne rapporte pas d’argent.
- Reinforcements, Reinforcements et Reinforcements. Même si vous êtes dans un moment tranquille et que vous n’en avez pas besoin. Chaque microseconde durant laquelle le sort de Reinforcements n’est pas en train de se recharger est une microseconde de jeu non optimisée. Je dirais pas la même chose pour le sort Boule de Feu, mais un petit peu malgré.
- Prenez assez rapidement l’upgrade Armor Shatter, et placez une tour de mage en début de circuit, histoire de profiter à fond de la réduction d’armure. C’est utile pour un tas de type d’ennemi.
- En mode Iron et Challenge, il vaut mieux augmenter un petit peu chaque tour plutôt qu’énormément une ou deux. C’est un peu frustrant de ne pas pouvoir surfer sur toutes les capacités rigolotes qui sont à votre disposition, mais c’est nécessaire. En mode Campaign, on peut se permettre plus de fantaisie.
- Lorsque vous voulez augmenter une tour de soldats ou de Copain Golem, essayez de le faire quand les unités sont mal en point. Ça les soigne instantanément.
- Placez les soldats, non pas en plein milieu des aires d’effet des autres tours, mais un peu en retrait. Comme ils se déplacent légèrement avant d’engager les monstres, ils les bloquent en les gardant à portée de tir. De cette manière, les monstres parcourront la plus grande distance possible sous le feu des autres tours.
- J’évalue la spécialisation Musketeer à : toute pourrie. Mais c’est peut être moi qu’ai pas compris comment l’utiliser. Les tours d’archers ont pour but intrinsèque d’infliger des dégâts faibles, en continu. Les Musketeers infligent des dégâts importants, à une cadence faible. Ça fout en l’air toute la stratégie de disposition générale. (Ouais, j’aime faire le malin avec des mots qui claquent de la claque : « stratégie de disposition générale ». Hahaha. Trop fort).
- Essayez de buter les Shamans Orcs le plus vite possible, quitte à y aller à la Boule de Feu. C’est de la vraie saloperie ces bestioles. En un coup de soin, ils vous foutent en l’air tout le travail effectué sur du gros monstre.
- Soyez pas con, et répartissez vos upgrades comme il faut lors des modes Heroic et Iron. Quand c’est limité au niveau X, mettez pas d’étoiles dans du X+1. Personnellement, j’ais pas pigé tout de suite que la limitation concernait les upgrades. Je croyais que c’était les niveaux des tours. J’ai bouletté.
Voilà. Et sinon le jeu en lui-même est vraiment sympa, avec de très bonnes idées, des graphismes de caractère, des onomatopées auditifs ET visuels, etc. Mais tout cela est décrit en détail dans n’importe quel article testant ce jeu, consultable dans n’importe quel blog de jeu vidéo.
Lien vers les martiens qui sont à l’origine de tout ça (http ://www. ironhidegames.com/index.php).
Et il semblerait qu’ils soyent en train de préparer un Kingdom Rush 2.
« 2 » ?? Quel coïncidence ! À 40 près, ça fait 42, c’est à dire le nom de votre geekzine préféré ! Vite vite ! Il est temps pour moi de vous récapitulater mes contributions dans le numéro du mois dernier.
On va faire ça vite, parce que j’ai un récapitulatage de retard. Donc là c’est le numéro 27, ayant pour thème :
Espions, agents secrets et autres experts du coupe-ongles-lance-flammes
Page 60 : Introduction à la cryptologie
Tel le vulgarisateur scientifique sortant son stylo-plume de son étui à stylo-plume (même si en vrai j’ai un clavier), je décris dans cet article divers cryptages, tout en restant à la portée du premier connard venu.
Les caractères bizarres dans les sous-titres de certaines images sont des messages codés voulant réellement dire quelque chose. (Ce que ça dit est toutefois d’un intérêt très discutable). Je vous laisse trouver l’algorithme et la clé de chacun d’eux, c’est assez facilement déductible à partir du contenu de l’article.
Cette prose fait écho au grand article de bobcat, contant l’histoire mouvementée et rebondissante des machines Enigma. Elle est à la page 67. Mais n’y sautez pas tout de suite. Coincé entre mon article et le sien, tel un sandwich périmé pris en sandwich entre deux T-shirt, se trouve une autre de mes contributions, il s’agit d’un …
Page 65 : humble hommage à un pionnier
Pour les personnes qui serait une « agricultrice en Ardèche », sachez que Steve Jobs est mort. Voilà c’est dit.
Fatalement, toute la blogogolsphère y est allé de son petit commentaire.
Certains dans la mièvrerie classique, de rigueur lors d’un décès : « C’était un mec trop bien. Un visionnaire. Oh, je rêve de lui sucer la bite et sa mort ne change rien à ce rêve ».
D’autres dans la rebéllion à contre-courant, dumpant force caca sur le macchab’ : « C’était un chef d’entreprise tyrannique et prétentieux. Il était vilain. Il a verrouillé ses téléphones pour prendre le contrôle de nos données personnelles. Il exploite des chinois. Il a refilé son cancer à ses partenaires sexuelles… »
D’autres encore, rebelles parmi les rebelles, ont parlé de la mort, non pas de Steve Jobs, mais de Dennis Ritchie. Personnage moins clinquant, moins glamour, mais qui a quand même créé et défini énormément de notions.
Pour les agriculteurtrices de tout à l’heure, sachez que Dennis Ritchie et son ami Brian Kernighan ont créé, à eux deux, le personnage « Ritchie Kernighan » de la série Happy Days. Ce qui est quand même l’une des réalisations les plus importantes du domaine de l’informatique.
Mais nous nous éloignons du sujet originel.
Car, moi, rebelle parmi les rebelles parmi les rebelles, j’ai décidé de parler de la mort d’un troisième grand nom : Bill Gates. Eh ouais. Tout le monde l’avait oublié, au fond de sa maison de retraite d’ivoire de la tour Microsoft. Mais voilà, il est mort. Je lui rends modestement hommage.
On n’est plus à ça près.
Page 81 : Le combat de l’ordinaire
Un roman-photo nimporte-nawak de plus à ajouter à mon actif. Je vous laisse le découvrir, c’est le plus simple, par rapport à votre (et à mon) optimisation de temps de vie restant.
Je me contenterais de mentionner la prouesse d’avoir rassemblé dans un même objet artistique Phoebe Buffay et les frères Bogdanov, auxquels s’ajoutent, dans un but purement d’esbroufe gratuit, quelques petites guests star : Michael Jackson, Dali, Amy Winehouse, Louis de Funès.
Tout cela va faire du bien à « Lautréamont » équilibre psychologique.
La suite ?
Le 42 suivant vient de paraître. Plongez-vous dedans tout seul, comme les grands agriculteutrices que vous êtes. Je récapitulerais mes contributions prochainement. Mais avant, j’essayerais de vous glisser du python et du corporate trouvé dans mon nouvel emploi.
Rien à voir, mais j’adore la chanson « Your sweet love » de Trash Palace.