La victoriabilité augmentée !!

Royal Salute à vous, petits technophiles.

Vous avez certainement entendu parler de la réalité augmentée.

Edutainment : la réalité augmentée est créée par un procédé de distortion du champ karmagraphique, qui transforme les vessies en lanternes, les miroirs en alouettes, les cliques et les claques en clic-clacs, les plombs en plomb et les mâles en pis de vache. La réalité augmentée ajoute une troisième dimension à notre monde réel 2D. Elle est compressible et interopérable : un simple mail suffit pour en transmettre plusieurs mètres cubes à vos amis. Elle permet également à toutes les personnes compatibles d’augmenter leur salaire et leur taux d’alcool.

Appareil permettant de diminuer le résultat de la soustraction entre monde réel et réalité augmentée, afin d'interfacer les deux au sein d'une abstraction commune.

Appareils servant à diminuer le résultat de la soustraction entre monde réel et réalité augmentée, afin d’interfacer les deux au sein d’une abstraction commune.

Photo prise dans la réalité augmentée, mettant en évidence les illusions d'optiques inhérentes au monde réel.

Photo prise dans la réalité augmentée, mettant en évidence les illusions d’optiques inhérentes au monde réel, qui nous font croire que les japonaises ont des petits seins.

Eh bien moi, j’ai inventé un concept de la même veine : la victoriabilité augmentée. Pas aussi cool que la réalité augmentée, mais presque. Disons que ça déprécate du chaton lvl 99 Gangnam Style.

La virtualité augmentée

« Virtualité augmentée » est une expression existante, plus ou moins déjà définie. Je ne le savais pas et j’avais voulu l’utiliser pour nommer le concept que j’ai inventé. Je ne peux plus le faire. Ça m’emmerde, parce que j’avais écrit une belle introduction avec. Donc ce que je vais vous demander, juste le temps de quelques paragraphes, c’est de faire comme si « virtualité augmentée » ne préexistait pas, et désignait mon invention à moi.

OK ? Merci, vous êtes super gentils.

On est d’accord que ce qui s’affiche sur l’écran d’un ordinateur est virtuel.

Mais cette virtualité n’est pas toujours claire, ni simple d’utilisation, ni agréable.

Prenons un exemple complètement au hasard. Vous jouez à un jeu vidéo de calcul mental, dans lequel vous devez répondre le plus rapidement possible à des questions existentielles telles que « 123/3 est-il plus grand, plus petit ou égal à 30+5 ? ».

Il s’agit d’une situation virtualitaire totalement pas pratique, pour des raisons que nous devinons tous très bien : il faut lire les questions, y réfléchir, trouver le résultat, … Si on se trompe, on perd du temps, le score n’est pas aussi haut que ce qu’il pourrait être. Bref, ce n’est pas très rentable.

Dans une virtualité idéale, le jeu se déroulerait sans qu’aucune intervention humaine ne soit nécessaire. Dès qu’une question de calcul mental serait posée, la réponse serait automatiquement trouvée et sélectionnée. Puis le jeu poserait une nouvelle question, et ainsi de suite. L’ensemble serait beau, agréable et optimal pour le score.

La virtualité idéale n’est pas évidente à atteindre. Mais on peut déjà imaginer et créer des logiciels qui s’en approchent.

La victoriabilité augmentée

La reine Victoria, inventeuse du Steam Punk, mais qui n'a pas inventé l'expression "victoriabilité". Heureusement sinon j'aurais vraiment été dans la merde.

La reine Victoria, inventeuse du Steam Punk. Elle n’a pas inventé le mot « victoriabilité », et heureusement sinon j’aurais vraiment été dans la merde.

Revenons à la euh… réalité. (Merde, putain de mot, on l’utilise partout ça fait tout confondre. Ah vous êtes encore là ? Oups…  Euh… Faites pas attention. On enchaîne).

Puisque manifestement, dans cette fameuse réalité commune à tout le monde, on me pique mes expressions avant même que j’ai le temps de m’en servir, je déclare officiellement que « victoriabilité augmentée » désigne le concept d’un logiciel externe apportant une assistance temps réel à un jeu vidéo trop difficile ou trop chiant.

Anti-Idle Math Solver

Tout ça pour dire que j’ai codé un script en python, pour le sous-jeu Math Master, du stupide jeu flash Anti-Idle (http:// www. kongregate.com/games/Tukkun/anti-idle-the-game).

Ce script effectue des captures d’écran, en déduit la question de calcul mental affichée, et renvoie la réponse dans une console. Le seul point qui manque, c’est le clic automatique sur la réponse. Mais c’est déjà pas mal non ?

Ça ressemble à ça.

Ça ressemble à ça.

J’ai tout mis sur mon compte github (https:// github.com/darkrecher/Anti-Idle-Math-Solver).

Edit 2013-12-14: Ça ne fonctionne plus depuis la version 1,652 de Anti-Idle. Ce serait assez simple à corriger, il suffit de mettre à jour les définitions de couleurs. Si vous voulez que je le fasse, envoyez un message ou un signalement de bug. En attendant, j’ai la flemme de le faire.

Je ne m’étends pas plus que ça sur le script en lui-même. Le repository contient une très belle doc de présentation pour les utilisateurs, ainsi qu’une très belle autre doc de conception pour les développeurs qui voudraient hypothétiquement reprendre le code.

Je suis content, c’est mon premier projet sur github un tant soit peu conséquent. Grâce à lui, j’ai augmenté mon niveau en geekeries. Maintenant je peux ajouter les compétences suivantes à ma fiche de personnage :

  • Écrire du python sans trop violenter le PEP8.
  • Githuber de manière à peu près correcte. Sauf que j’ai parfois des commits bizarres, avec des différentiels de fichiers mal fichus. Je vais tenter d’éclaircir la question.
  • Edit 2013-12-03 : je sais d’où viennent ces commits bizarres. Un simple cafouillage dans les sauts de ligne (CR / LF / CR&LF). Oubliez cela, c’est réglé.
  • Faire de la doc de « macro-description ». Quand j’ai créé Blarg, je me suis targué d’avoir tout bien documenté. Sauf que la doc tant vantée n’était constituée que de commentaires de code. Ce n’est pas très pratique pour quelqu’un qui ne connait pas du tout le projet et qui veut le découvrir, car il ne sait pas par où commencer.
PEP8, la boisson qui vous fait bien coder en python.

PEP8, la boisson qui vous fait bien coder en python.

J’ai encore pleins d’anciens et futurs projets à mettre sur github. Mais c’est pas pour complètement tout de suite. Là j’ai prévu d’augmenter la monétisation de mon blog (c’est de la monetariabilité augmentée). Je vais ajouter mon intermédiaire publicitaire préféré à vraiment tous les liens, et en profiter pour ressuciter les morts (les liens morts). Y’a du boulot. Et faut aussi que je fasse cette fameuse page regroupant toutes les conneries que j’ai faites depuis le début de ma vivirtuelle.

Petites blablateries rapides en vrac

J’ai éjaculé un nouvel article chez mes amis virtuels Sam & Max. J’y décris des méthodes d’union d’un ensemble d’intervalles (http:// sametmax.com/union-dun-ensemble-dintervalles/).

Le jeu Galaxy 55 est temporairement mort. Ça me chagrine beaucoup, parce que je l’aimais énormément, et j’y avais « investi » du temps. J’avais écrit des articles de blog et de magazine 42 à son sujet, créé un script de récupération des prix du marché des kubes (encore une augmentation de la victoriabilité), trouvé une méthode de quadrillage optimal pour extraire le minerai, et construit un super espace de stockage sur ma planète principale. J’espère que tout ceci reviendra un jour. Sinon, il faudra se coder son propre minecraft-like, avec des robots cette fois-ci.

Si vous voulez écouter de la bonne dub qui rotototototom du ganja farmer à la platine de platine, je vous conseille le site OnDubGround Productions (http:// odgprod.com/). C’est ma musique de chevet. J’aime particulièrement Panda Dub et Mahom.

C’est presque l’été, on va pouvoir se lashay. Voici donc une photo de Summer Lashay.

summer-lashay-01

Royal à bientôt à tous !

Le dernier numéro de 42, et une histoire juste comme ça

On est en plein milieu de l’hiverté, cette saison si particulière, à exacte-égale distance entre l’hiver, l’été, l’ivresse et la liberté. Elle existe partout, sauf dans le nord de l’Amérique. Une sorte de pied de nez de notre facétieuse planète à ce pignouf de Jo Dassin et son été indien de mes fesses.

J’émerge doucement de mon sommeil, dans mon sac de couchage brûlé au troisième degré, à motif de fleurs. Je joue avec mon cerveau. Je lui fais générer des pensées cochonnes pour avoir la trique, puis je pense à d’autres choses pour la faire retomber, puis je recommence. C’est un lendemain de cuite, évidemment. Je me lève, mes camarades de franche camaraderie dorment encore.

Ici c’est une sorte de concentré de gloss à paillettes de quelques petits moments magiques qui ont chatoyé mon histoire un peu noire. Une intégrale de « petits plaisirs simples de la vie », sur t-dt.

Au plafond est accroché un papier, volé dans un supermarché quelconque, indiquant : « ne pas gerber ». Je vais aux toilettes et fais pipi jaune foncé. Mon corps me fait bien sentir que ça l’emmerde de lâcher de précieuses gouttes d’eau pour éliminer les toxines de la veille. Je me lave les mains, puis me rappelle qu’il n’y a pas de torchon. Je m’essuie sur le chat.

finished loft area dream roof room

Pictures Wet Cats

Ça dépend des fois, mais là, mon corps est tout foufou et motivé. Alors je me lance dans le nettoyage des trois tonnes de vaisselle. Pendant ce temps, mes amis de franche amitié se réveillent en émettant divers grognements. Nous sommes 5 au total, avec autant de filles que de garçons. Nos compétences et utilités sociales sont variées : jardinage, geekeries, décoration de blouse, recyclage, musique, ouvrier-codage, décentralisation, karmagraphie, recherche d’idées, …

Le travail ne manque pas, mais comme la survie n’est pas un problème, on travaille beaucoup et bien. Y’a juste que tout ce qu’on produit n’est pas toujours immédiatement utile.

On habite tous ensemble dans un appartement sous les combles. On a toute la collection des vidéos « Happy Tree Friends » en VHS, et des petits serveurs décentralisés qui dupliquent et historisent ce qu’on fait sur nos ordinateurs. (Mais on peut effacer des trucs si on veut). Une fois, le voisin a tiré à la chevrotine sur le toit, puis son fusil a éclaté et il y eut « une pluie de petits morceaux d’homme ». En hommage à sa mémoire, j’ai accroché une bite en carton à mon velux. On a chacun notre chambre, j’ai ajouté un bar dans la mienne.

Ou peut-être que je n’habite pas dans cet endroit, et que je suis seul tout en haut d’une tour de mage. Pour sortir dehors, je descend à ski. J’ai un ski gauche et un ski droit, faut pas confondre.

minecraft mage tower

Y’a une piste rouge et une piste bleue.

Non. On dirait qu’on serait 5, parce que c’est mieux comme ça. Évidemment, on fait des trucs sexuels entre nous. Pour être sûr que certains ne soient pas lésés sur ce plan, on a mis en place un système de monnaie, dont chaque unité est divisible à l’infini. Le cours de la levrette avec douche de miel a augmenté.

Parfois, des gens nous rendent visite, ou l’inverse. Et c’est toute une population éclectique qui vient échanger avec nous bons mots, alcool, octets et souvenirs :

  • Des livreurs de cocktails-apéro.
  • La « scène » des joueurs professionnels de Hammerfest (parce qu’on organise des compétitions).
  • Le Scrameustache et son ami imaginaire Gimli, à qui il lance une plaquette de chocolat pendant les matchs de rugby et de foot.
  • Le commissaire-huissier du Guiness des Records de l’insomniaquie. Il est drôle, il apporte toujours de la Guiness.
  • Le passeur de boîtes de nuit, qui vogue au dessus de la foule dans son bateau sobre, pour transporter ceux qui se sont perdus entre les tables et la piste.
  • Sans-Nom, le héro de Fight Club.
  • Une très grande blonde et une petite asiatique.
  • Morak.
  • Velvet d’Amour.
  • Un mec bizarre que personne ne connaît et qui tient absolument à dire « musaraigne ».
  • Des prostitués (hommes et femmes) payés par l’État, qui proposent des coups gratuits ou juste une conversation. Une fois, juste pour le fun, j’ai donné un cent-millième d’unité de notre sexo-monnaie à une belle poularde au gros nougats. Mais ça ne lui servira à rien, personne d’autre que nous ne l’utilise.

garbage girl porn

  • Vous, bien sûr. Et j’en profite pour vous en remercier.

Dugrain, l’un de mes amis, sort de son sac de couchage, prend un tout petit gâteau dans le frigo, et doucement, progressivement, se met à pleurer à cause du danger potentiel de perdre ce petit gâteau sans en avoir suffisamment profité. Il pleure avec des putains de chaudes larmes bien viriles, de celles d’un mec tellement viril qu’il a une confiance absolue en sa virilité, et qui a donc conscience que pleurer ne pourra en aucune façon l’entâcher.

Je le prends dans mes bras et le console. Je pleure un petit peu moi aussi, parce que ça fait du bien.

Well, that’s it viewers.

Don’t forget to turn off your set.

Was it enough for you ?

(1000 points d’ego à la première personne capable de me dire de quel jeu vidéo est tirée cette citation).

Pourquoi j’ai écrit tout ça ?

dernier magazine 42 couverture

Je n’ai pas à me justifier de ce que je mets dans ce blog, mais là, j’ai décidé que si. Je n’ai pas à me justifier du fait que parfois, je me justifie, et parfois pas.

Le magazine 42 a fermé ses lourdes portes d’airin sur plus de 3 ans de lol, images débiles, trolls et autres croublougnastreries. À cette occasion, je voulais raconter quelques souvenirs marquants et quelques sentiments qui ont été miens durant toute cette aventure (On croirait lire Valéry Zettoun dans Popstar).

Puis je me suis aperçu que les souvenirs marquants, ce sont mes contributions à 42 en elle-même, et les sentiments qui les accompagnent, je les ai déjà racontés dans mon au-revoir inclus dans le dernier numéro. (Ce, qui par ailleurs, constitue une contribution, donc un souvenir marquant, accompagné de sentiment, raconté dans l’au-revoir, paf vortex récursif).

Comme tout avait donc été dit, j’ai décidé de raconter, ici, des souvenirs autres que ceux liés à 42, en les mélangeant bien afin de conserver mon anonymat et d’optimiser mon bonheur de relecture.

Sans transition (bizarre cette expression), voici mes contributions à cet ultime, dernier et post-post-antépénultième opus.

images de transformation d'un rat-garou

Là, c’est avec transition. Ou juste zoophilie.

Page 30 : Mon top 3 des jeux vidéos 2012

Comme l’année dernière, j’ai essayé de produire des tops de 3 origines différentes. Il y a donc un jeu flash, un jeu de la Motion-Twin et un jeu d’un studio indépendant.

Sauf qu’Island Tribe 3 n’est pas si indépendant que ça, ne vaut pas grand-chose, n’est pas très original, et me fait à chaque fois éprouver un léger sentiment de honte lorsque j’y joue. De plus, ce serait bien moins lourdingue si on pouvait programmer à l’avance les actions des personnages, plutôt que de cliquer partout comme un gros débile sans avoir le temps de réfléchir.

Je me suis rattrapé avec Flightless, jeu flash nanti d’un concept original et provenant d’un studio suffisamment indépendant à mon goût : Nitrome. Essayez-le, c’est mignon, astucieux et rigolo. Je vous mets directos un lien indirectos (http:// www. nitrome.com/steam/flightless/#.UPbroKy57w4).

Un jour, peut-être, j’explorerais plus en détail ce que font ces gens de chez Nitrome, et j’en rédigerais un article.

Pour finir, j’ai choisi Galaxy 55, déjà mentionné ici et là. À ce sujet, je me permet de hurler à la face du monde moderne : « je veux un Minecraft-like avec des petits robots qui feraient tous le boulot à notre place, et qu’on programmerait soi-même, à l’aide d’un langage dédié ! » Même si c’est qu’en 2D. Je serais prêt à payer pour ça. (En bitcoins).

Edit d’hier soir à l’arrache à 2h du matin : les robots, c’est pas encore gagné. la Motion-Twin va arrêter Galaxy 55 pour un temps fini non déterminé.

doom fingernail

Quand on retrouve un peu partout des références à un truc, ce truc devient de la culture.

Page 66 : mes adieux personnels au lectorat de 42

Dans la vie d’une personne célèbre du show-bizz et de la taylay, il y a toujours un moment où elle révèle tout de son si trépidant parcours. Elle en sort un livre, un sketch ou un spectacle, et ça lui rapporte mass pognon. C’est ce que je fais dans cette article de 42 : je raconte mes secrets les plus intimes, et je n’ai plus rien à cacher, et c’est beau. Nan je déconne. Même si je n’avais vraiment rien à cacher, je ferais semblant d’en avoir à, juste pour me rendre intéressant.

En revanche, ce que je ne vous cache pas, c’est que cet arrêt de 42 me fait me sentir un peu plus « libre ». La contrainte d’une production régulière ayant disparue, je vais pouvoir me lancer dans des projets de plus grande envergure. Aboutiront-ils ou pas ? Je l’ignore. Seul le futur le sait (et encore, c’est uniquement parce qu’il a regardé dans une boule de cristal pour voir son propre futur, le futur).

Vous trouverez quelques détails supplémentaires concernant mes raisons d’arrêter 42, et les ouvertures dont auxquelles ça décombe, dans un post du forum (http:// www. nioutaik.fr/daultimatewebzine/viewtopic.php?pid=170485#p170485).

Page 73 : roman-photo Anonymous

La classe, comme d’habitude. J’avais envie de me foutre de la gueule des Anonymous, car peu de gens le font. Ceux qui les soutiennent les encensent. Ceux qui les détestent les insultent copieusement, mais ne se foutent pas de leur gueule. Comme si c’était un sujet trop sérieux pour être moqué.

Je me permet de vous rappeler que si on en a envie, tous ce qui est sérieux peut ne plus l’être. Il ne faut pas abuser de ce pouvoir de non-sérieusisation, mais il faut savoir qu’on peut l’appliquer à absolument tout.

« On peut rire de tout, mais on ne peut pas rire tout le temps, sinon ça devient lourdingue ».

L’autre chose que je voulais messagifier dans ce roman-photo, c’est que les échanges entre humains passent aussi par le visage, les expressions, les sourires, les faisages de tronche, etc. Et les conventions sociales, quelles qu’elles soyent, préconisant de se cacher le visage handicapent ces échanges. Il peut y avoir de bonnes raisons de cacher son visage, mais il ne faut pas oublier qu’après, c’est plus difficile de communiquer. C’est tout.

En route pour de nouvelles aventures ?

Je m’en vais vous faire découvrir un extrait de ma liste de trucs à faire. Au passage, comme l’a souligné le professeur Ploum (éminent librologue), les listes de choses à faire ne sont pas des listes, mais des arborescences.

MMmmmhhh… Non. Attendez, ce ne sont pas des arborescences. Ce sont des espèces de graphes de dépendance, avec des petites boîboîtes connectées entre elles un peu n’importe comment, mais pas complètement n’importe comment parce qu’on n’a pas le droit de faire de boucle. Enfin c’est ce que j’ai cru comprendre de son article (http:// ploum.net/post/changing-the-world-one-task-at-a-time).

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Décompostition arborescente de la tâche « faire la vaisselle »

Voici une partie de ce que j’ai prévu pour les mois/années à venir :

  • Remettre de l’ordre dans le souk que constitue ce blog. Dans la mesure du possible, j’aimerais bien avoir un seul article dans la partie « Trucs Uber Importants » située à droite. Celui-ci aurait pour sujet principal : MOI, et recenserait toutes mes « grosses créations » faites depuis le début de ma vie de glandeur de l’internet. Ça veut dire qu’il va peut-être s’écouler un certain temps avant qu’un nouvel article apparaisse à nouveau sur ce blog. Mais restez dans le coin quand même.
  • Continuer de remettre de l’ordre dans le souk que constitue ce blog, en complétant certains commentaires de listage de source d’images, et en remettant comme il faut les liens à pub, que super-Wordpress m’a un peu fichu en l’air. À ce sujet, se référer à la fin du précédent article, où je m’exprime avec colère, car la colère de quelqu’un qui utilise un service gratuit est toujours totalement justifiée et devrait être écoutée, voyez-vous.
  • Continuer de participer au blog pythonien tenu par Sam&Max (http:// sametmax.com/).
  • Condenser des conneries sur moins de 140 caractères et les raconter dans mon twittère-poil-au-derrière.
  • Créer un wiki regroupant les subtilités et les détails des BD d’Andreas, mon auteur préféré.
  • D’autres grands projets cachés.
  • Et surtout : me reposer, glander, ne rien faire, jouer à des jeux vidéos en toute inculpabilité, me la couler douce, farnientiser dans la farine, etc.
  • Je sais pas, et ça me fait bien plaisir de pas savoir !

Comme dirait un héros d’un livre de Houellebecq : « Il était manifestement arrivé à une fin de cycle ».

black BBW dans une voiture

Monte dans ma voiture, et en-routons-nous vers de nouvelles aventures, disais-je donc.